Cette vidéo nous montre la misère du monde. Alors que nous avec se que nous avons nous ne sommes pas encore heureux. Mais si seulement ils avaient 1/10 de ce que nous avons ils seraient heureux eux !!! Cette vidéo ma donné le courage de me dire qu'il faut que nous faisons quelque chose pour pouvoir ensuite les aider !
Danger OGM
Définition :
C’est une plante, un animal, virus, bactérie, unicellulaire ou pluricellulaire ou un micro-organisme dont on a transformé le patrimoine héréditaire afin de le doter de propriétés que la nature ne lui a pas attribuées, résultat obtenu par manipulation de l’Acide désoxyribonucléique (ADN). Le génome a été modifié en laboratoire par insertion d’un ou plusieurs gènes homologues (de la même espèce) ou hétérologues (provenant d’une espèce différente).
Les premiers OGM ont été obtenus chez les bactéries et les levures, il y a plus de 20 ans.
Risques :
Un des principaux risques est qu’un des gènes inséré dans une plante OGM destinée à l’alimentation animale ou humaine, provoque la synthèse de produits toxiques ou fortement allergènes.
A ce jour on ignore totalement les répercussions sur la santé provoquées par l’ingestion d’aliments contenant des gènes de résistance aux antibiotiques, mais on sait que les bactéries sont tout à fait capables de récupérer, puis d’échanger ces gènes.
Ainsi, la résistance aux antibiotiques peut se transmettre des plantes cultivées aux bactéries qui vivent dans le sol, ou de celles-ci aux bactéries de notre tube digestif.
Cette résistance peut aussi être “récupérée” par des bactéries pathogènes, ce qui peut engendrer de graves problèmes sanitaires.
Et donc une éventuelle multiplication d’allergies et l’apparition de maladie, de virus de plus en plus résistant aux antibiotiques.
Bibliographie :
DANGER SANTÉ. OGM : Informations, [Consultation : 19/04/09]. Disponible : http://www.danger-sante.org/category/organisme-genetiquement-modifie/
C’est une plante, un animal, virus, bactérie, unicellulaire ou pluricellulaire ou un micro-organisme dont on a transformé le patrimoine héréditaire afin de le doter de propriétés que la nature ne lui a pas attribuées, résultat obtenu par manipulation de l’Acide désoxyribonucléique (ADN). Le génome a été modifié en laboratoire par insertion d’un ou plusieurs gènes homologues (de la même espèce) ou hétérologues (provenant d’une espèce différente).
Les premiers OGM ont été obtenus chez les bactéries et les levures, il y a plus de 20 ans.
Risques :
Un des principaux risques est qu’un des gènes inséré dans une plante OGM destinée à l’alimentation animale ou humaine, provoque la synthèse de produits toxiques ou fortement allergènes.
A ce jour on ignore totalement les répercussions sur la santé provoquées par l’ingestion d’aliments contenant des gènes de résistance aux antibiotiques, mais on sait que les bactéries sont tout à fait capables de récupérer, puis d’échanger ces gènes.
Ainsi, la résistance aux antibiotiques peut se transmettre des plantes cultivées aux bactéries qui vivent dans le sol, ou de celles-ci aux bactéries de notre tube digestif.
Cette résistance peut aussi être “récupérée” par des bactéries pathogènes, ce qui peut engendrer de graves problèmes sanitaires.
Et donc une éventuelle multiplication d’allergies et l’apparition de maladie, de virus de plus en plus résistant aux antibiotiques.
Bibliographie :
DANGER SANTÉ. OGM : Informations, [Consultation : 19/04/09]. Disponible : http://www.danger-sante.org/category/organisme-genetiquement-modifie/
Agrodiesel et faim monde
La terre produit aujourd’hui suffisamment pour nourrir l’ensemble de la population mondiale. Pourtant, dans le monde, 862 millions de personnes souffrent de la faim, dont les trois quarts en milieu rural dans les pays du Sud. Les prix des denrées alimentaires ont augmenté de 83 % au cours de ces trois dernières années. C’est un véritable choc auquel font face les pays du Sud, qui voient leur facture alimentaire augmenter brusquement, car ils sont dépendants des importations pour nourrir leur population. Pour les ménages pauvres, qui dépensent jusqu’aux trois quarts de leurs revenus dans l’alimentation, les conséquences sont catastrophiques. Les manifestations contre la vie chère, qui ont touché une quarantaine de pays en 2008, témoignent des difficultés supplémentaires de ces populations pour s’approvisionner.
La flambée des prix des denrées alimentaires peut aussi être attribuée à l’enchaînement de mauvaises récoltes, à la demande des pays émergents, à la faiblesse des stocks de céréales et à la surenchère spéculative. Mais l’OCDE estime que près de 60 % de l’augmentation de la consommation de céréales et d’huiles végétales est, entre 2005 et 2007, imputable aux agrocarburants et le Fonds monétaire international considère que l’augmentation de la demande en agrocarburants compte pour 70 % dans la hausse des cours mondiaux du maïs en 2007.
En France, 64 % de l’huile de colza, jusqu’alors en majeure partie exportée, a été transformée en agrodiesel en 2007. Cette même année, les États-Unis, principaux exportateurs de maïs, ont détourné l’essentiel de leur production vers la fabrication d’agrocarburants. Mais les produits alimentaires constitutifs des agrocarburants ne sont pas les seuls touchés : le prix du riz a fortement augmenté, car la flambée du blé et du maïs a conduit les populations à se retourner vers cette céréale pour se nourrir.
La flambée des prix des denrées alimentaires peut aussi être attribuée à l’enchaînement de mauvaises récoltes, à la demande des pays émergents, à la faiblesse des stocks de céréales et à la surenchère spéculative. Mais l’OCDE estime que près de 60 % de l’augmentation de la consommation de céréales et d’huiles végétales est, entre 2005 et 2007, imputable aux agrocarburants et le Fonds monétaire international considère que l’augmentation de la demande en agrocarburants compte pour 70 % dans la hausse des cours mondiaux du maïs en 2007.
En France, 64 % de l’huile de colza, jusqu’alors en majeure partie exportée, a été transformée en agrodiesel en 2007. Cette même année, les États-Unis, principaux exportateurs de maïs, ont détourné l’essentiel de leur production vers la fabrication d’agrocarburants. Mais les produits alimentaires constitutifs des agrocarburants ne sont pas les seuls touchés : le prix du riz a fortement augmenté, car la flambée du blé et du maïs a conduit les populations à se retourner vers cette céréale pour se nourrir.
Bibliographie :
LES AGROSCARBURANTS, ÇA NOURRIT PAS SON MONDE. Comment les agrocarburants participent à la crise alimentaire mondiale, [Consultation : 19/04/09]. Disponible : http://www.agrocarb.fr/les-agrocarburants-et-la-crise-alimentaire.php
Pourquoi les énergies renouvelables ?
Les énergies fossiles, pétrole, gaz naturel et charbon sont d'excellents combustibles. Leur seul mais très inquiétant défaut est qu'ils polluent considérablement la planète par leurs déchets et la fumée que dégage leur combustion, sans oublier que d'ici une cinquantaine d'années les réserves planétaires seront épuisées!Et ce n'est pas tout dans la mesure où ils contribuent notablement à l'effet de serre... Que faire, comme aurait dit un certain Lénine?
La solution est à notre portée! En effet, la lumière et la chaleur dégagée par le soleil, la puissance du vent et de l'eau sont capables de produire de l'énergie. Ces énergies, précisément renouvelables sont très saines pour la planète et ne polluent absolument pas. Les énergies solaires, éoliennes et hydrauliques (en particulier) permettent une production d'électricité et de chauffage tout à fait rentable.
Bibliographie :
LYCÉE JEAN CHARCOT. Énergies renouvelables : Pourquoi faire ?, [Consultation : le 27/12/08]. Disponible : http://www.ambafrance-ma.org/efmaroc/charcot/2007/index.php?option=com_content&task=view&id=45&Itemid=194
Inconvénients agriculture industrielle
L'intensification de l'agriculture est souvent au détriment des considérations environnementales, ce qui explique le rejet par les agriculteurs et les consommateurs. Les dommages à l'environnement et de la chaîne alimentaire sont produits de différentes manières: -Élimination des haies pour augmenter la taille des exploitations et d'accroître la productivité par l'échelle. Cela détruit l'habitat de diverses espèces et favorise l'érosion.
-Monovariétales généralement des monocultures, il y a donc perte de la biodiversité.
-L’abusif et irresponsable usage des pesticides peuvent polluer les nappes et d'éliminer les insectes (abeilles pollinisatrices), ainsi que d'autres populations d'oiseaux et de mammifères.
-Le coût de l'agriculture industrielle est élevé.
Bibliographie :
WIKIPÉDIA. L’agriculture intensive, [Consultation : le 26/12/08]. Disponible : http://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=es&u=http://es.wikipedia.org/wiki/Agricultura_intensiva&sa=X&oi=translate&resnum=1&ct=result&prev=/search%3Fq%3Dagricultura%2Bintensiva%26hl%3Dfr
La terre fournit ... et pourtant
Pour mener une vie active en bonne santé, un être humain a besoin de 2400 calories par jour. La production mondiale agricole permettrait d’offrir à tous les habitants de la planète 2700 calories par jour. C’est plus qu’il n’en faut... Pourtant, si depuis trente ans le nombre de personnes souffrant de la faim a diminué dans le monde, la situation s’aggrave dans certains pays.
Ce fait se produit car près de 800 millions de personnes souffrent encore aujourd’hui de la faim dans le monde. 24.000 personnes meurent de faim chaque jour dans le monde, soit une toutes les quatre secondes. 86 pays ne produisent pas eux-mêmes de quoi nourrir leur population et n’ont pas l’argent nécessaire pour importer de la nourriture. La moitié de ces pays sont en Afrique, seul continent où la malnutrition est en progression. L’Europe est elle aussi touchée : en ex-Yougoslavie, 2 millions de personnes ont besoin d’aide alimentaire et, même en France, 2 millions de personnes sont mal nourries. La production de carburants comme l’agro diesel fait mourir de faim encore plus de personnes.
Bibliographie :
COPAIN DU MONDE. Dossier “La faim dans le monde”, [Consultation : le 27/12/08]. Disponible : http://www.copaindumonde.org/Dossiers/dossier_faim.%20html
Ce fait se produit car près de 800 millions de personnes souffrent encore aujourd’hui de la faim dans le monde. 24.000 personnes meurent de faim chaque jour dans le monde, soit une toutes les quatre secondes. 86 pays ne produisent pas eux-mêmes de quoi nourrir leur population et n’ont pas l’argent nécessaire pour importer de la nourriture. La moitié de ces pays sont en Afrique, seul continent où la malnutrition est en progression. L’Europe est elle aussi touchée : en ex-Yougoslavie, 2 millions de personnes ont besoin d’aide alimentaire et, même en France, 2 millions de personnes sont mal nourries. La production de carburants comme l’agro diesel fait mourir de faim encore plus de personnes.
Bibliographie :
COPAIN DU MONDE. Dossier “La faim dans le monde”, [Consultation : le 27/12/08]. Disponible : http://www.copaindumonde.org/Dossiers/dossier_faim.%20html
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